EFT - emotional freedom techniques
Un succès de l’EFT : les chats aussi ont des besoins !
Bonjour à tous,
Fudge, le chat, éprouve le besoin, qu’il n’a pas d’habitude, de grimper sur les genoux blessés de sa maîtresse. Cela causa beaucoup de problèmes à sa maîtresse, jusqu’à ce que Karen Lewis, du Royaume Uni, en ait découvert la véritable raison et résolve le problème du chat avec l’EFT.
Amicalement, Gary
Par Karen Lewis
Tout récemment, ma nièce a dû être hospitalisée pour une opération des genoux. J’étais là quand elle est rentrée chez elle, une semaine plus tard. Au moment même où je m’en allais, l’un de ses chats essayait avec insistance de monter sur ses genoux. Ce n’était pas précisément ce qu’il lui fallait à ce moment-là, et c’était un comportement plutôt inhabituel de la part de ce chat qui n’aime pas, normalement, être sur les genoux.
Je lui fis une petite visite le lendemain matin, et elle était couchée sur son lit, les jambes étendues devant elle. Elle me dit que le chat avait essayé de grimper sur ses genoux pendant presque toute la soirée précédente, et qu’il avait passé la nuit pelotonné contre sa porte, à l’extérieur de sa chambre, après qu’elle l’eût chassé. Il était encore en train d’essayer de grimper sur elle à présent, et cela devenait un énorme souci car, et on peut la comprendre, elle souffrait beaucoup et ne voulait pas risquer d’être griffée aux jambes.
Il restait couché à côté d’elle, comme collé au lit, avançant une patte de temps à autre, pour tenter à nouveau d’aller sur ses genoux. Ma sœur et ma nièce furent d’accord pour tapoter afin d’obtenir qu’il la laisse tranquille. Tandis que je le faisais, il me sembla préférable de voir si le chat me laisserait bel et bien tapoter sur sa tête, pendant que je dirais les phrases.
Aussi je me penchai par-dessus ma nièce, je me mis mentalement à la place du chat (du nom de Fudge) et je me mis à tapoter doucement sur sa tête. Il me regarda comme pour dire « Pourquoi fais-tu ça ? ». Mais il me laissa faire quand même.
Je ne peux pas me rappeler avec précision ce que j’ai dit, mais c’était en gros « Tu m’as vraiment manqué, la semaine dernière ! Où étais-tu ? Je me faisais du souci ; je sentais bien que tu avais mal. »
Ma nièce se mit à rire en voyant la mine que faisait le chat : on aurait dit que quelque chose d’étrange était en train de se passer, il louchait en regardant dans le vague et paraissait complètement dans le coaltar, exactement comme sont les chats quand ils ont eu leur ration d’herbe à chat.
Moi, en tant que Fudge, j’ai continué avec Je veux seulement monter sur tes genoux pour te montrer combien tu me manquais et que j’étais inquiet. Je ne réalisais pas que cela pouvait ne pas être bien de le faire. Je ne veux pas te faire de mal. Nous étions en train de pouffer de rire toutes les deux à présent, pendant que Fudge avait vraiment l’air d’être sur une autre planète.
Peu après il se leva, s’éloigna de quelques centimètres, se pelotonna et s’endormit. Je restai avec ma nièce pendant une heure et demie, et pendant tout ce temps il n’essaya jamais de revenir sur ses genoux. Nous étions toutes deux très impressionnée !
Il fut sage tout le reste de la journée. Il refit une tentative le lendemain matin, et je dis à ma nièce qu’elle savait ce qu’elle pouvait faire en cas de besoin.J’ai finalement compris que ce n’était pas nécessaire. Il reprit son comportement habituel de « Je garde mes distances ».
Séance intéressante qui me fait sourire encore aujourd’hui.
Très cordialement.
Karen Lewis
Texte de la newsletter du 10 Septembre 2007 du site de Gary Craig www.emofree.com/Animal/cat-anxiety-fudge.htm traduit par Martine Mauvais
